Pixel~Ange - le 21/01/2010 à 23h52
Wizzzette - le 22/01/2010 à 13h00
" Vous avez de la chance d'être visitée par un ange ! "
Suis derviche sur net à mes heures. Un autre, ni plus ni moins. Si tu acceptes pas dé ne rien en savoir, tu ne m'y verras pas.
Dans ce cas là, tu fais sûrement partie du troupeau des néonaziques des terres du feu.
Et c'est une bien triste histoire.
Celle
d'une terre où trônent dis mille Rois et dis mille Reines typo tyrans
couillons. Ils ne se connaissent pas et brûlent le monde en dansant
dessus, protégés des palais de pixels où nul regard ne sort.
Tu peux iuƒte regarder com'y ƒont bÔ. pâS PIRE ! bit.
Il
existe beaucoup d'histoires où l'on vit les Grands du monde consulter
les derviches et grandir leur Savoir pour régner sur leur Vie et les
Autres en choix de sagesse.
Ici, On les balance une 2 : 2 une ƒoi et hop les chiottes . Tou perle à sec. Et c'est d'Eux même qu'ilL se débarbarassent de la ƒorte. Et ainsi, ils se décon|sidèrent.
aucune <éditer | supprimer> ingnorance
aucun respect pour autrui
aucun respect pour autrui
L'âme blanche
C'est comme ça.
Lis ce qui suis, si tu veux, jusqu'au bout, si tu peux, si tu ne me croiƒ . pa :)
J'invente rien,
je suis iuste un paslapaslala typo matamore et mon rêve est d'ƒève
voter les enfants dès qui naissent que c'est bien aussi.
CULTURE MACHT FREI !
~y !
Tu peux aussi changer la misique, c'est com'tuve pour le souffle en couve d'air Or
~
Ben oui, c'est clair que t'en connais boukoup des com moi dans ton
alluciné club de bourriques à bourriques. Des wagons. T'en ferais
presque des listes pour les remplir ; kéké +, kéké -.
Moi,
ça dépend les jours; alors si c'est un jour où je tombe mal et que tu
fais partir le train, on dira que c'est le destin qui l'a voulu ainsi
et Incha Allah !
C'est trop Chouette'oto. ie t'envie presque, toute cette culture... Mais que dis-je ? Toute cette IMMENƒE cult@gère.
Merƒi de réfléchir un peu avant de me virer les textes d'en bas pour des coms qui seraient un peu ... redondints.
Merci. ƒi déjà i'ai presque plus que cette réserve pour mettre des coms en liberté. 20 en première page, pour être..? exact.
Hugh !
Pour la musique blog
détruit par Télérama, puis "recousu", quelques points, par mes soins à
cette même adresse. La musique n'est plus la même...nda°°°
Pixel~Ange - le 21/01/2010 à 23h23
Si tu iuges, pour toi et pour les
autres usiteurs, fais pas croire que c'est moi qui aurait choisi de pas
répondre à une personne. J'ai pas des touffes d'araignée dans le
cerveau à me branler l'ego. Vous comprenez ce que vous voulez, et ce
qui vous arrange, quand ça vous arrange. Vous savez même plus parler,
expliquer, vous tuez le totO d'abord. Alors moi aussi j'ai ma dose pour
aujourd'hui. Changez rien surtout, buvez Vichy celdestin pour votre
tain et surtout changez rien et broutez bien, on va dire que vous avez
raison puisque que vous panzère tous pareils. On peut tjs réécrire
l'histoire. Aprèss. pffff, t'e~maj'in's m^me pas com's c'est facile
avec des bourin's yack comme vous. ƒans coeur ki ƒerche. Le ƒi peu
qu'il y faut.. CULTURE MACHT FREI !
Yaaaaaark
pffff...
Faut jamais dire tjs, c'est comme jamais. On peut pas savoir. Et
pie quand le verre est bu, la bouteille n'est pas forcement encore
pleine... ie sais pas demain.
Dormez bien puisque ça vous plaid
Les murs ont deux côtés. Excuse-moi, tu savais pas ? Pôve tite
oinoin. Et personne pour t'aider ? Sont où tes amis ? Et les miens ?
Que d'hall ! T'es toute seule quand ie baîpaƒ de rire . Et pieu, deux,
trois, 4. Et pied une chappe par dessus, com'çaça Ox ggène plus. On
peut y couler le bronze dans la gueule du kéké tout tranquilou. Ca fera
une sculpture surprise pour el commadente. Avé la vidéO full bonus
jaquette. Et pié... Et pié... C'est silence. iuste parfois un bruit de
gond se retournant dans la nuit du serpent; dircome, si bien gavégravé
par toi de l'intérieur; queuquand dans l'oreille soudainement inquiète
sans voir de raison parce qu'elle s'y est noyéeconstruite; sonne l'art
glass muse-ix répétitive à une seule note viperƒmen : T'choue..
T'choue..T'choue.T'choueT'choueT'choue
http://tag-heure.blogspot.com/2009/01/sans-chiffre.html typo modèle exemplair à suivre
lajoe - le 21/01/2010 à 23h18
Cher Pixel-de-mon-cœur, j'ai eu ma
dose de bolos et de kékos dans ton genre pour ce soir, alors continue à
te reluquer l'astibloche et à bad-triper en solo, moi je vais me
pager....
C'est bô comme t'écris...
presqu'île - le 21/01/2010 à 21h20
Salut, m'sieur ~.
J't'ai déjà dit que tu pouvais prendre de l'espace et qu'il était là pour ça, alors je ne comprends pas trop les sorties que tu nous fais là... Tu m'expliques ? J'ai pô peur des pommes, tu peux y aller ;-)
Par contre, si tu veux en lancer à d'autres, des pas jolies comme j'ai pu en voir, pas chez moi, stp. J'en ai assez des miennes, j'te dis pas combien de bocaux j'ai déjà rempli...
J't'ai déjà dit que tu pouvais prendre de l'espace et qu'il était là pour ça, alors je ne comprends pas trop les sorties que tu nous fais là... Tu m'expliques ? J'ai pô peur des pommes, tu peux y aller ;-)
Par contre, si tu veux en lancer à d'autres, des pas jolies comme j'ai pu en voir, pas chez moi, stp. J'en ai assez des miennes, j'te dis pas combien de bocaux j'ai déjà rempli...
Y sont où tes bocaux ?
Chez moi ?
§
Posté le 27 mai 2012 | 15 commentaire(s) |
Commentaires
Ajouter un commentaireWayabl 3 - posté le 27/05/2012 à 13h39
Wayabl 3 - posté le 27/05/2012 à 14h24
Deux jours après l'attentat,
Bob Marley participe comme prévu au concert Smile Jamaica à Kingston.
Aux journalistes qui lui demandaient pourquoi il tenait tant à jouer lors de ce concert, il répondit :
« Les gens qui tentent de rendre ce monde mauvais ne prennent jamais de jours de congés. Comment le pourrais-je ? »
supprimer
Bob Marley participe comme prévu au concert Smile Jamaica à Kingston.
Aux journalistes qui lui demandaient pourquoi il tenait tant à jouer lors de ce concert, il répondit :
« Les gens qui tentent de rendre ce monde mauvais ne prennent jamais de jours de congés. Comment le pourrais-je ? »
Wayabl 3 - posté le 27/05/2012 à 15h49
supprimer
Vils oun stapal gorumbis flatis
tche rimtalis derampla spirit nemoun é temps
ay érin cals dé centr del nonomis
cé lama trimbla viné sobi inon monvi subt
oki ! e vol ene e vol dé e vol lama lama sabctnis...
ké fey fluvi omni sépar edent nomb infine currus bak ar
e mi stipsul guat om viz gouti mer
ké dest ? ké finsh ? ké tents ?
y sol sipr abs al nit abs al nit
rougi mani courus inot tampa
ké faï ken o dap liften miola
batsi quor orm depitit sentis dess tets sentis fri sévesse nera virul
ké vis torvis li inte remis prof damoundis boïa, bricha, vikilas
e ras
ché parl e nit, ché part nit val
ti bab els absit ner goul stipi nun
brout gémos sricrafis vita al eg mina
Wayabl 3 - posté le 27/05/2012 à 17h05
Tocs en stock
Vous êtes les uns sur les autres
A repasser sans cesse
Les linges de vos clans sectaires
A vous rendre fous en nombre
Excluant l'Autre au plus près de vos raisons
Tissant sans fin des cages labyrinthiques
Où nulle Lumière ne perce
Que celle de barreaux assassins
Qui es-tu pour oser juger une vie dont tu ne sais rien ?
Où dans l'ignorance qui guide tes pas, tu ne te vois même plus
La remplir de haines enrubannées au coeur plastique
Depuis combien de temps déjà,
Extermines-tu ce que tu crois sans valeur ?
Depuis combien de temps déjà,
As-tu perdu ta parole ?
De ce jour sans doute
Où tu ne l'as plus tenue
Un pas, puis un autre, puits...
Au lieu de l'autre
Tu n'es rien
Ce pas en toi que tu fais
Où tu vas pouvoir rester un peu
Ce temps de rien
Ce rien intangible
Où renaissent les Dieux ou tes démons
Où toujours vibre l'Amour
Lanterne de toi toujours là
Que tu vois
Que tu vois pas
Que tu ne vois pas
Ce pas en toi que tu fais
Sais-tu qu'il enjambe les étoiles
Et que cela n'est rien
Cet arbuste que tu vois
Qui chante sa vie
Participe de la tienne
Bien au-delà de ce que tu sais
Pourquoi ris-tu quand ton enfant
D'un bâton le frappe ?
C'est l'outil des bergers pour l'abreuvoir
Pour l'abattoir
Il frappe ton chien
Tu dis
Tu n'y es pour rien
Lui apprend à le rapporter
Il ouvre le sol
Ersatz ton doigt
Pour y poser une graine
Que le temps dira
Au chant des jours et des nuits
Il semble plus facile
Ce chemin où tu fermes les yeux
Pourtant
De ces esquives fermentant leur poids
Jaillissent d'étranges fleurs
A la sève niée
supprimer
Vous êtes les uns sur les autres
A repasser sans cesse
Les linges de vos clans sectaires
A vous rendre fous en nombre
Excluant l'Autre au plus près de vos raisons
Tissant sans fin des cages labyrinthiques
Où nulle Lumière ne perce
Que celle de barreaux assassins
Qui es-tu pour oser juger une vie dont tu ne sais rien ?
Où dans l'ignorance qui guide tes pas, tu ne te vois même plus
La remplir de haines enrubannées au coeur plastique
Depuis combien de temps déjà,
Extermines-tu ce que tu crois sans valeur ?
Depuis combien de temps déjà,
As-tu perdu ta parole ?
De ce jour sans doute
Où tu ne l'as plus tenue
Un pas, puis un autre, puits...
Tu n'es rien
Ce pas en toi que tu fais
Où tu vas pouvoir rester un peu
Ce temps de rien
Ce rien intangible
Où renaissent les Dieux ou tes démons
Où toujours vibre l'Amour
Lanterne de toi toujours là
Que tu vois
Que tu vois pas
Que tu ne vois pas
Ce pas en toi que tu fais
Sais-tu qu'il enjambe les étoiles
Et que cela n'est rien
Cet arbuste que tu vois
Qui chante sa vie
Participe de la tienne
Bien au-delà de ce que tu sais
Pourquoi ris-tu quand ton enfant
D'un bâton le frappe ?
C'est l'outil des bergers pour l'abreuvoir
Pour l'abattoir
Il frappe ton chien
Tu dis
Tu n'y es pour rien
Lui apprend à le rapporter
Il ouvre le sol
Ersatz ton doigt
Pour y poser une graine
Que le temps dira
Au chant des jours et des nuits
Il semble plus facile
Ce chemin où tu fermes les yeux
Pourtant
De ces esquives fermentant leur poids
Jaillissent d'étranges fleurs
A la sève niée